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 blague marseillaise suite

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Gégé
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Gégé


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MessageSujet: blague marseillaise suite   blague marseillaise suite EmptyDim 17 Sep - 19:51

Au bar des platanes, Zé et Doumé discutent devant leur quatorzième fly.
- Oh Doumé, qu’est tias fait ce ouiquende ?
- Je suis été à Maïre avé le pointu.
- Ah, ouais, et ça a pité ?
- Pité tu dis ? J'ai pris une voilà de sardine, comac !!
Et la Doumé, il écarte les bras au max pour montrer la taille de la sardine.
- Et encore, j'ai pas les bras assez longs !
- Doumé, tu me prend pour un anglais ou quoi ? ! Ça existe pas les sardines comme tu dis.
- La vie de ma soeur, Zé ! Tu le sais que je mens jamais aux collègues !! Té, tu m’as vexé, je te parle plus....
Jusqu'au dix-huitième fly, un silence de mort.
Puis Doumé prend sur lui et relance la discussion :
"Et toi Zé, ques tias fait ce ouiquende ??
Doumé condescend à répondre
- J’ai été à la chasse au poste que j’ai sous le Garlaban
- Ah ouais et ques tias fait ?
- Rien !
- Comme, rien ! Tu me prends pour un con ou quoi !!
- Non, je te dis, y avait rien !!! J'étais noir ce jour-là !!!
- Oh Zé, assure! Un chasseur comme toi, rien tu chopes!! Jamais je le crois !!!!!
La, Zé baisse le ton et dit :
- Bon, écoute, si tu me jure que tien parle à dégun. je te raconte. On est d‘accord ?
- Sur Zé, pas de lézard. Tu me connais!
- Bon alors voila, il m'est arrivé un engambi incroyable. Tu me jure que tu te la clave, hein.
- Zé, je te le jure...
- Alors voilà, samedi, j'étais à l’agachon depuis deux heures et j'entends atche de bruit dans les kékés. Putain tu me connais comme je dégaine ! Ni une ni deux, j'épaule, peng ..... Je sors et je vais voir. Putain, tu le crois ou non, c'était la vache à Monsieur Jean de Gémenos. Tu me connais, je rate rien... net, entre les deux yeux.
- Oh l’enc.... tias flingué la vache à Monsieur Jean !!!! Et alors, qu'es tias fait !!!
- Eh, ques tu crois. Je suis retourné à la voiture prendre la pelle-bèche et j'ai commencé à creuser.
- Ah ouais ? Et après ?
- Après ? J'avais presque fini le trou quand, au bout du chemin, qui je me vois arriver ?
- Et je sais pas moi. Dis-moi !!!!
- Monsieur Jean...
- Non !!!
- Et ouais... il doit chercher sa vache, je me suis dit.
- Oh Putain! Mauvaise limonade et alors, tu lui as dit quoi !!
- Rien.... Tu comprends, j’ai paniqué. J’avais la 22 chargée, alors...
- Nooooooon !!! Arrête !! Tias pas étendu Monsieur Jean !! Tu déconnes complet là ??!!
- Hé Putain, mais ques tu voulais que je fasse.
- Mais tiés calu complet!!! Et alors, après, ques tias fait!!!
- Après? Après, j’ai agrandi le straou et je l’ai mis avé sa vache. J’avais presque fini... et là la tuile....
- Quoi ? Quoi ?
- Madame Jean qui arrive juste en fasse de moi avec sa fille... j’avais pas trop le choix, tu comprend.....
- NON !!!! Tias pas fait ça quand même... Zé arrête... ties devenu complètement fou !!!!
- Alors là Doumé écoute moi bien , y a pas cinquante solutions : SOIT TU RETRECIS TA PUTAIN DE SARDINE SOIT JE FAIS UN CARNAGE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!




Sur la Canebière, Zé croise Gu, un ancien collègue de Tour Sainte.
- O' Gu, ça fait plaisir depuis le temps. Ca va bien ?
- Hé bé, ca va pas mal. J’ai ouvert le magasin de fringues que je t’avais parlé. Que de l’italien, la grande classe. Après je me suis agrandi. j’ai ouvert le même à Aix, et puis à Nice, à Monaco et le dernier à Saint Tropez. J’ai acheté la Carrera et puis la Jaguar pour ma femme. Parce que je suis marié aussi. Tu te souviens, de Zette, qu’elle a été « Miss Tee-shirt mouillé » au Casino à Bandol. Je l’ai marié l’année dernière. On a une vie de roi. Le chalet à Pra-Loup l’hiver, l’appart aux Lecques sur la plage, là où j’ai le bateau. Un offshore. Des fois, on va en Corse pour le ouikende. Mais je parle, je parle.... Et toi qu’es tu deviens ?
- Moi ? Je t'emmerde.




A un concours organisé par «La Provence», Zé a gagné le premier prix : une croisière dans les iles du Pacifique. Au début, super. La belle vie, les filles, et les apéros de longue.... Mais un soir qu’il il a fait un peu trop de mélanges et qu’il était en train de nourrir les poissons avec le gigot aux flageolets du midi, manque de bol, il glisse par dessus la rambarde et le voilà dans le bouillon, avec le bateau qui file, loin là bas sur la mer. Il nage comme un calu pendant un jour entier, et fini par se retrouver sur la plage d’un petit atoll perdu au milieu de nulle part. Désert.... Le Paradis s’est transformé en Enfer.
Pendant quatre ans, pas un bateau au large, pas un avion au dessus. Le Zé a fini par faire une une croix définitive sur son retour à Marseille et s’est organisé sa petite vie. Un matin qu’il ramasse des moules dans les rochers, il a le coeur qui manque lui sortir de la poitrine. A l’ancre devant la plage, un petit voilier !
Il court comme un jobastre, se campe sur le sable en face du rafiot et se me à brailler à pleins poumons. Une fille sort sur le pont et lui fait signe de venir à bord. Ni une ni deux, le Zé se jette à l’eau et une minute plus tard,il embrasse le pont du "Fioupélan II" comme si c’était la pelouse du vélodrome. Parce que ce bateau, justement, il vient de Marseille.
- ça fait quatre ans que t'es ici. Quatre ans sans boire un jaune. T’ias pas soif ?
- Sur, dit le Zé, j'ai le gosier tout desséché
- Espère un peu, j’ai tout ce qu’il faut...
Et voilà qu’elle lui offre un pastaga, avec les olives, les caouètes et tout et tout.
- Si je comprend bien, ça fait aussi quatre ans que t'as pas mangé l'aïoli.
- Oh povre, tias de quoi en faire un ? demande le Zé
- Attends, j’ai tout ce qu’il faut que tu vas te régaler
Et elle lui prépare un aïoli de derrière les fagots. Zé se régale et récure le plat.
- Mais, du coup, si je se trompe pas, ça fait aussi quatre ans que t'as pas tiré, fait la fille d’un air coquin
- Je le crois pas, tias aussi amené les boules ?




Les animaux du zoo de la Barben vont partir en congé
L'ours polaire dit :
- Moi je suis un ours, j'ai une bonne fourrure, ma femme et mes petits aussi, alors on va en famille au pôle nord.
Sur ce le dauphin dit :
- Moi j'ai la peau lisse, ma femme aussi, et mes gamins aussi, de plus un peu de chaleur nous fera du bien, je m'en vais nager aux Antilles.
La girafe dit :
Avec nos grandes pattes et notre long cou, nous préfŽrons partir dans les grandes plaines africaines.
Puis vient le tour du crocodile qui annonce :
- Et bien moi j'ai une grande gueule, ma femme a une grande gueule, mes deux petits commencent à avoir une grande gueule…donc on va aller à Marseille.




Un jour dans un train, en Savoie, un Parisien (avec son écharpe du PSG), un Marseillais (avec son écharpe de l'OM) et une jolie Norvégienne sont dans le même compartiment . Ils roulent comme ça, sans se parler, depuis des heures quand un tunnel vient plonger le train dans l'obscurité la plus totale. On entend alors un bruit de baiser, immédiatement suivi d'un bruit de baffe. Quand le tunnel se termine, que la lumière revient, le Parisien se tient la joue droite qu’il a fort rouge.
Le Parisien se dit :
- Le Marseillais a du embrasser la Norvégienne, elle a cru que c'était moi et elle m'a collé un pain.
La Norvégienne pense :
Le Parisien a du vouloir m'embrasser mais il a loupé son coup et a embrassé Le Marseillais qui n'a pas apprécié.
Le Marseillais se dit :
Au prochain tunnel, je refais le bruit du bisou et j’en remet une autre à cet enfoiré de Parisien




Sur le Vieux-Port, une poissonnière marseillaise crie à une de ses collègues :
- Oh, Ginette ! J'ai une grande nouvelle à t'annoncer! Ecoute ça, ma belle : je marie ma fille !
- Oh la putain !
- Non pas celle-là, l'autre...




Un moulon d’entreprises parisiennes viennent depuis peu s’installer à Marseille. Mais le choc des cultures n’est pas toujours une réussite. Deux collègues de bureau, un Marseillais et un Parisien se retrouvent ensemble, à partager la même chambre lors d’un séminaire organisé par leur boite au chateau de Lourmarin. Le Parisien est visiblement très mécontent de partager quoi que ce soit avec le Marseillais. Toute la soirée, il se drape dans un silence méprisant à son égard, et quand il l’ouvre c’est pour lui lancer des fions les plus désagréables, avec tous les clichés de rigueur. Le Marseillais encaisse sans broncher, mais ça le démange de riposter.
Tout le monde par finalement se coucher. En rentrant dans la chambre dans le noir, le marseillais s’embronche dans le tapis et en essayant de se ratrapper, fait tomber un pot qui était posé sur la cheminée... Ca fait pschhhhhttt.... Il y a une grande lumière et un génie apparait :
Je suis le génie Ktaras. L’un de vous deux m’a délivré. je sais pas lequel, alors je vous accorde un voeu chacun...
Le Parisien regarde le marseillais d'un air méprisant et dit :
-Moi d’abord. Je voudrais un mur immense tout autour de Paris pour nous préserver de tous les abrutis congénitaux venus de province !
- Ainsi soit-il, répond le génie, Je viens de transformer le périphérique en une immense muraille infranchissable.
Le Marseillais demande alors :
Il est comment exactement, ton mur autour de Paris ?
- Il fait 90 mètres de haut et 30 mètres d'épaisseur !, dit le génie, C’est gigantesque !
- Parfait..., dit le Marseillais, Mon voeu à moi, c'est que tu remplisses ça d'eau maintenant !




Zé est en train de se regarder tranquille "Auto-moto" comme tous les dimanches matin quand téléphone sonne.
- Zé ! c'est Jeannot ! Ecoute... Y a Méhu qui est à la Timone. Il a eu un accident avec la Béhemme hier soir.
- Oh l'enc' ! Qu’est-ce qui s’est passé ?
- C'est en revenant de boîte. Il était rond comme un boulon. Et un con de platane qui a traversé...
- Et la Béhemme
- Laisse tomber... Y en a plus, fada ! On dirait une mini maintenant...
- Oh l'enc' ! Comment y va ?
- Traumatisme cranien, ils ont dit ...et ...il a perdu un bras. Si tu y vas, annonce lui en douceur. Il est dans le coltar et il le sait pas encore
- Oh ! Oh l'enc'... quelle chambre il est ?
- 217 !
Zé file à la timone, monte les escaliers quatre à quatre, arrive devant la chambre 217 et entre.
D'un coup, Méhu ouvre un oeil et aperçoit Zé.
- Zé, c’est toi ? Qu'est-ce qui m'est arrivé ?
- Tias eu un accident. Tu t'es estramassé contre un platane.
- Et ma Behemme ?
- Elle est reléguée, Méhu... mais c’est pas ça le pire. Méhu, dans l'accident tias perdu ton bras gauche...
- Oh fatche ...Ma Rolex !




Zé est bon camarade. Mais il a un petit défaut. Il déteste payer sa tournée. Ses collègues du Bar de Platanes en ont un peu marre de la situation et décident un jour de lui donner une petite leçon. Arrivés en avance au Bar, ils se dépêchent de passer la commande et les voilà en train de se faire une petite contrée, le verre à coté de chacun, quand le Zé déboule.
- Oh, vous avez déjà commencé ?
- Eh voui ...
- Et vous avez déjà commandé la tournée ?
- Eh voui...
- Et vous l'avez fait essprès de pas m'attendre ?
- Eh voui ?
Et ils se poussent du coude en rigolant sous cape. Le Zé est furax:
- Bande de saligauds! Tè, puis que c'est comme ça je vous parle plus !
Et le voilà qui se dirige vers le comptoir sans les calculer. Nono regarde tout ça d'un air goguenard.
- Ca va Zé ? Alors qu'est ce que je te sers?
- Un verre d'eau !
- Ties malade ?
- Non, je suis pas malade, mais je veux un verre d'eau. Tu me le sers ou pas ?
Résigné, Nono lui rempli un verre. A la table de contrée, les autres sont estrassés de rire.
- Regarde-le moi, ce raspi !
- Sur. Il a tellement d'oursins dans les poches qu'il veut même pas allonger pour son propre Ricard!
Zé prend sa commande, sans rien dire va s'assoir à une table tout seul a l'autre bout du bar et pose le verre d'eau tout doucement bien devant lui. L'air inspiré, il attrape un fil un peu long qui dépasse de sa chemise et le casse d'un coup sec. Puis, tenant le fil entre deux doigts, il commence à le tremper souplement dans le verre avec un léger mouvement de bas en eau. Les autres, qui le regardent faire du coin de l'oeil, rigolent de plus belle. Le Zé ne bronche pas. Dix minutes se passent...
- Il est en train de virer complètement gaga, ce couillosti.
- Eh je crois qu'il a compris, cette fois
- On y a été un peu fort quand même.
- Vouais, allez, c'est bon... Va le voir, Méhu et demande z'y ce qu'il fait. Il me fait peine...
Méhu se lève et s'approche de la table de Zé. Celui ci, imperturbable, continu de tremper son fil dans le verre d'eau.
- Oh Zé! qu'es tu fais ?
- Chuuuut! Je pêche ...
- Mais ties fada ou quoi ? Tu pêche dans un verre d'eau, maintenant ? Et qu'est que tu vas prendre ?
Alors le Zé lêve la tête et a un petit sourire...
- Bè, je sais pas moi...Comme toi, tè... un Ricard !




Dans la cours de récré, trois minots discutent ferme :
- Ouais moi, mon père, il est chef d'entreprise. Il a la Béhèmme. Il roule à plus de 200. L'autre jour, on est allé à Sanary. On est parti à 2h. A 2h et quart, je me baignais à la Plage Dorée. Trop fort, il est, mon père.
- Moi, mon père, il joue à l'OM. Il a la Ferrari. Tin, ca fonce à 350 km/h. Dimanche, on a été à Monaco pour le match. On est parti à 4 h. A 5h, on était au stade. Ca fait que mon père, il l'enfume, ton père...
- Et bè, moi, mon père, il est receveur à la Poste Colbert. Il a une 2CV de l'autre monde. C'est un vrai avion ! Même que, tu vois, il finit son travail à 5h. Eh bè tous les jours, tu vois, à 4 heures et demie, il est déjà à la maison.
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