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 blague marseillaise suite et fin

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Gégé
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Gégé


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blague marseillaise suite et fin Empty
MessageSujet: blague marseillaise suite et fin   blague marseillaise suite et fin EmptyDim 17 Sep - 19:52

Momo fonçe à 230 km/h sur la rocade du Jarret avec sa Suzuki gonflée quand du coté de la Timone, il se retrouve nez à bec (il a pas de casque, l'enclume !) avec un petit moineau. Il fait une embardée pour éviter de prendre le piaf en pleine gueule mais, pas de pot, la collision est inévitable !!!
Un peu sonné, Momo voit, dans le rétroviseur, la malheureuse petite bête faire des pirouettes sur le bitume, puis tomber sur le dos, ailes étendues, au milieu du terre-plein central.
Pris de remords, il plante un coup de patin, et ni une ni deux, en faisant fumer les pneus dans un demi-tour de folie, il retourne vers les lieux du drame. Chance! L'oiseau n'est pas mort !... Il ramasse la bestiole inconsciente, la glisse dans son cuir et se la ramène à la maison. Il lui achète une petite cage, et l'y installe douillettement, avec un peu de pain et une soucoupe d'eau pour quand il se réveillera.
Le lendemain, effectivement, le piaf se réveille, voit les barreaux de la cage, le morceau de pain et la soucoupe d'eau, se prend la tête entre les ailes et s'exclame :
- Oh Putain, merde!!! J'ai tué le motard ...et je suis aux Baumettes!!!




Deux bambins vont voir leur grand père à la maison de retraite de Montolivet:
-Papy Zé ! Papy Zé ! Tu nous racontes l'histoire que tu étais dans la savane en train de faire le safari ????
- Mais je vous l'ai déja racontée au moins 200 fois, cette histoire!
- Allez ...steuplaaaaiiiit !!!!
- Zou, d'accord, je veux bien vous la raconter pour la 201ème fois !
- Ouha ! Trop bon ! Merci Papy !
Et là, Papy Zé commence son histoire.
-Alors, j'étais dans la savane, je rampais dans les herbes, comme ça (il fait les gestes avec les coudes)... Quand tout a coup je te vois un lion ... énorme. Une bestiasse terrible ! Un mastard ... Alors là, j'hésite pas ... je mets la poudre dans le fusil, la balle, je tasse (il tasse avec la main) ... je vise entre les deux yeux (il vise)... Et bang, je tire ! ... Oh putain, je me le manque, le lion, et lui il me fonce dessus (il fait le lion qui court). Alors, vite je remets de la poudre, je remet une balle, je tasse (il tasse avec la main) , je vise en vitesse (il vise) et je retire ... bang ! Oh fatche je le rate encore, que la balle elle lui passe au dessus de l'oreille gauche. Ni une ni deux, j'ai encore le temps .... Mais tout juste ... Il reste à peine quelques mètres entre lui et moi ...je remets la poudre, la balle, je tasse (il tasse encore)....pas le temps de viser ... bang ! ... Misère... Je le rate encore .... Et là, le lion, il est juste tout près de moi qui va bientot me tchoker !! Je sens son souffle chaud tout près de ma figure ... Et voila que je me cague dessus ....
- Oh putain, mais nous aussi on a peur, Papy Zé ! on a vachement peur !!
- Et non, couillon ! Qué peur ? C'est maintenant que je me cague dessus !!!!




Zé a décidé de monter à Paris quelques jours pour visiter un peu la tour Effeil. Le premier jour, après avoir posé ses valises à l'hôtel, il traîne un peu le long des quais de Seine avant de rentrer dans un bar sélect du coté de Saint-Germain des Prés. Il s'installe au comptoir :
- Bonjour, je peux avoir un café siouplait ?
Le café atterri devant le Zé en un clin d'oeil. Le barman a un petit sourire qui ne présage rien de bon. La semaine précédente l'OM en a pris trois au vélodrome par le PSG. Il lui lance, l'air goguenard :
- Ca fait trois zéros !
Le Zé manque d'abord attraper une estoumagade à cause de l'insulte, puis une deuxième à cause du prix. Mais il se reprend vite fait, sort 3 pièces de 1 Euro, en met une en face de lui, et jette les deux autres à droite et à gauche du zinc. Le barman ne bronche pas sous la riposte, prend la pièce en face de lui et va de part et d'autre du comptoir pour récupérer les 2 autres pieces. Pas fâché de sa blague qui lave un peu l'affront, le Zé boit son café et s'en va. Mais comme il est rancunier, le lendemain, il est de retour. Bonheur, c'est le même barman ! Nouveau café qu'il paye de nouveau avec ses 3 pièces de 1 Euro dispersées le long du comptoir. Le cirque dure pendant 3 journées d'affilées. Le barman, quand il voit le Zé arriver, il a envie de l'étrangler.
Le quatrième jour, le Zé, sans doute pas réveillé ou lassé de la blague, au lieu de refaire son petit manège, paye cette fois son café avec une billet de 5 Euros qu'il laisse à coté de la tasse. Le barman retrouve subitement le sourire car il voit arriver l'heure de la revanche : il prend le billet de 5 Euros et ressort 2 pièces de 1 Euro qu'il lance à gauche et à droite sur le zinc avec un air de défi.
Le Zé regarde les 2 pièces. Le comptoir est immense et elles sont bien à 5m l'une de l'autre. Il regarde le barman. Celui ci à le visage hilare et l'œil brillant. Le Zé sort alors calmement une nouvelle pièce de 1 Euro de sa poche qu'il pose doucement en face de lui et dit dans un soupir:
- Un autre, siouplait.




Trois jeunes cadres d'entreprise se retrouvent dans un bar à la sortie d'un congrès. Ils boivent une mousse en devisant sur les mérites de leurs écoles respectives. Et la conversation continue jusque dans les toilettes.
Le premier qui a fini va se laver les mains puis se les sèche longuement avec de multiples serviettes.
- Moi, j'ai fait l'ESSEC Paris. A l'ESSEC, on nous apprend à être méticuleux ! dit-il.
Le second se lave les mains et se les sèche minutieusement avec toute la surface utile d'une seule serviette.
- Moi aussi j'ai fait mes études à Paris, mais à HEC. A HEC, on nous apprend à être méticuleux bien sur, mais surtout efficaces.
Le troisième sort sans se laver les mains et jette au passage.
- Moi j'ai fait l'Ecole de Commerce de Marseille. A Marseille, on nous apprend à ne pas nous pisser dessus !




Une brave marseillaise se rend chez son médecin.
- Bonjour madame ! Qu'est-ce qui ne va pas ?
- Ben c'est mon mari, y'a qu'il se prend pour une chèvre à chaque fois que je me déshabille !
- Ah oui ? Curieux... Voulez-vous bien vous déshabiller, s.v.p.?
Elle se déshabille. Le médecin jette un coup d'œil distrait et fait :
- Beeeeeeeeeeeeeeh!




Un parisien à la descente du TGV Gare Saint Charles saute dans un taxi et demande au chauffeur:
- Vite ! Conduisez-moi a l'hôtel de ville, svp !
Le chauffeur, vitre ouverte, bras à la portière, une seule main sur le volant, démarre à fond dès que la porte est claquée. Le taxi débouche en trombe dans le boulevard Voltaire, sans respecter le stop. Le parisien, plaqué au fond du siège, commence à se dire que ce furieux regarde trop les films de Besson. Le premier feu, place des marseillaises, est orange bien mur. Au lieu de freiner, le taxi accélère encore, klaxonne un bon coup, et en lachant un "culé ah !" bien senti" passe en zigzaguant devant les autres voitures avant d'encaper le boulevard d'Athènes. Concert de klaxons derrière lui. A l'arrière, le passager est livide.
- Vous êtes fou. Où avez-vous appris à conduire comme ca ?
- A Marseille, répond le chauffeur, tous les taxis conduisent comme ça.
Nouveau feu, au carrefour du boulevard de la Liberté, vermillon cette fois. Deux voitures se sont déjà arrêtées gentiment. Le chauffeur déboîte d'un coup de volant pour éviter les deux bagnoles devant lui, prend la file montante, jette un coup d'œil à droite vite fait et traverse le carrefour en trombe. On entend un vieux bruit de tôle froissé juste après son passage.
Le passage hurle :
- Mais arrêtez- vous allez nous tuer !!
- Vous inquiétez pas ! dit le chauffeur flegmatique. C'est toujours comme ça ici... Vous venez au moins de Paris, vous!
Le parisien, lui voudrait bien descendre. Impossible. Le taxi roule trop vite. Il voit arriver avec angoisse le flot de la Canebière. Chance, le feu est vert. S'il pouvait le rester…. Ouuuuiiii, on y est ! Toujours vert !... Ca va passer, sûr... Du coup, il respire un peu mieux et se dit que le plus dur est peut être fait ...quand le chauffeur au lieu tourner à droite pour descendre vers le port, plante un coup de patin monstrueux et stoppe brutalement la voiture ... au feu vert! Derrière le taxi, les klaxons hurlent leur mécontentement. Le parisien qui vient de manger l'appui-tête avant (il avait pas mis la ceinture) est redevenu blanc comme un linge. Il dit dans un souffle:
- Vous êtes complètement dingue ! Vous passez lorsque le feu est rouge mais quand est vert vous stoppez. C'est dément!
- Bien sur dit le chauffeur. Je ne veux pas prendre de risque.
- De risque ? Mais quel risque ? C'est vert, là !
- Ben là, c'est surtout la Canebière….
- Et alors ?
- Alors y a beaucoup de taxis qui descende la Canebière.
- Ah oui ... et alors ? Si on c'est vert pour nous, ils ont le feu rouge non ?
- Ben justement... ça m'ennuierait de me faire emplafonner par un collègue.




Une importante exploitation forestière du Canada passe un jour une petite annonce dans la Provence dans le but de recruter un bûcheron. Quelques jours plus tard, le Zé fraîchement exilé dans le grand Nord (c'est le cas de le dire) se présente :
- Je viens pour l'annonce, pour le bûcheron...
- Toi, mon gars ? Tu plaisantes…. Il me faut un gars taillé dans l'acier, capable de bosser 10 heures par jour sans sourciller!
- Je sais faire ça.
- OK, admettons. Dis voir un peu… où est-ce que t'as bossé comme bûcheron avant de venir ici ?
- Au Sahara...
- Au Sahara ? T'es sur mon gars… Tu veux bien dire, dans le 'désert' du sahara ? Alors le Zé rigole et dit :
- Ouais, c'est comme ça qu'ils l'ont appelé depuis.




De retour de son voyage au Canada, le Zé cherche à se faire embaucher dans une scierie du coté de la Capelette.
Le patron lui demande :
- Tu y connais quelque chose, en bois?
- Sûr, les yeux fermés je reconnais toutes les essences! Rien qu'avec le nez ! Parole ! Et même des fois, je peux dire d'où vient le bois !
Le patron de la scierie qui n'y croit pas trop décide de lui faire passer un petit test. Il rassemble tout le personnel. on bande les yeux du Zé.
Le premier échantillon est posé sur la table. Zé le renifle et dit:
-Ca, c'est du chêne, et même du jeune chêne…. Il vient de la Sainte Baume… Coupé il y a au moins deux ans !
Sifflements admiratifs.
Le patron pose un deuxième échantillon sur la table:
Ca c'est du hêtre, dit le Zé…du hêtre qui vient de Fontainebleau…
Murmures approbateurs et respectueux dans la salle.
Le patron pose un troisième échantillon sur la table et dit :
- Allez un peu plus dur !
- Ca, c'est du cèdre du Liban…Il a voyagé sur le pont d'un tanker, il sent encore l'essence.
Le patron est très impressionné. Mais comme il est très joueur, il veut tenter une dernière expérience:
Il demande à la vieille secrétaire de mettre sa culotte sur la table et dit au Zé :
- Si tu me dis ce que c'est que celui là, je te donne le boulot !
- Le Zé renifle un coup, un deuxième, hésite… et puis subitement il a un grand sourire :
"Ah! C'était un piège!!! Ce n'est pas du bois qu'on utilise normalement dans une scierie... C'est un bois qui a déjà été travaillé... C'est la porte des chiottes d'un bateau de pêche !




Sur la route des vacances, du coté de Toulon, un couple de vieux marseillais s'arrête à une station service. Le pompiste arrive et demande:
- Bonjour. Je vous fais le plein?
- Oui allez-y, répond le papet.
La mamet demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDE SI ON VEUT LE PLEIN, répond le vieux en criant.
Le pompiste engage la conversation :
- Alors, vous allez où comme ça ?
- On va passer les vacances à Saint Tropez, dans la villa de notre fils, répond le vieux.
La mamet demande encore :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDE OU ON VA. JE LUI AI DIT QU'ON ALLAIT À SAINT TROPEZ
Le pompiste :
- Vous avez de la chance. Vous allez avoir du beau temps pour les 15 jours qui viennent.
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y FERA BEAU LA-BAS
Le pompiste :
- Et où vous habitez quand vous n'êtes pas en vacances ?
- On habite au Cinq-Avenues à Marseille, répond le vieux
- Ah ouais?! Ca alors, c'est une drôle de coïncidence. J'ai connu une fille des Cinq-Avenues un jour. Une vraie baboite. Elle ne pouvait pas s'arrêter de parler. Elle me soûlait trop ! Je l'air largué au bout de huit jours. En plus elle était nulle au lit. Mais nulle! Ah ça, vraiment, c'était pas une affaire!
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y T'A CONNUE Y A LONGTEMPS !




Zé et sa femme Ginette partent en vacances à la montagne. Le Zé a décidé de se mettre à la pêche à la truite dans la Durance. Ginette, elle, préfère plutôt la lecture. Pas sportive pour un sou. Ils passent tous les après-midi au bord de l'eau. Le Zé pêche et Ginette bouquine.
Un après-midi, alors qu'il a mouillé sa canne dans un trou d'eau, le Zé sent la grosse fatigue qui lui monte. Il confie la canne à sa femme et décide de faire un petit roupillon sous un saule, bien au frais.
Pas de bol, pas plus tôt endormi, un garde pêche s'approche de Ginette et lui demande :
- Bonjour madame, vous pouvez me montrer votre permis de pêche s'il vous plait.
- Qué permis ? Je pêche pas, je lis un livre, ça se voit non ?
- Vous êtes dans une zone ou la pêche est réglementée, madame. Il faut un permis pour pêcher.
- Il est pas beau lui, Oh, t'ies sourd ou quoi ? Je lis, je te dis! je pêche pas... C'est mon mari.
- Ecoutez Madame, vous êtes à coté de l'eau, d'accord ? Vous avez le matériel, d'accord ? Alors pour moi vous pêchez. Je suis désolé, mais je vais devoir vous mettre une amende pour pêche illicite.
Loule réfléchit puis elle fait avec un sourire:
- D'accord ! Mais si vous faites ça, je hurle et je vous accuse de viol!
- Mais... mais, Madame, je ne vous ai même pas touché. répond le garde-pêche en begayant.
- C'est vrai,... mais vous êtes à coté de moi d'accord ? Et vous avez le matériel, d'accord ?




C'est Samedi après-midi et Zé et Ginette ont une sacrée envie d'un peu d'intimité pour une partie de jambes en l'air. Malheureusement pour eux, Momo leur fils est dans l'appartement et comme il risque de pleuvoir, les parents ne préfèrent pas qu'il sorte. Zé a soudain une illumination.
- Momo, tu veux être gentil. Y a des jeunes qui zonent en ce moment et je suis pas tranquille pour la voiture. Tu veux bien aller guetter sur le balcon cinq minutes. Comme ça, tu surveilles la Behemme et tu nous racontes tout ce qui se passe en bas!
Momo râle un peu, mais va quand même sur le balcon et commence son observation. Pendant ce temps, les parents passent aux choses sérieuses. Ca part bien plutôt bien et Zé entend la voix de Momo qui annonce :
- Il y a une voiture qui se fait remorquer par une dépanneuse dans le parking... Tiens, une ambulance vient de passer à toute vitesse... Il y a des gens qui rendent visite aux voisins d'à côté... Y a Azid et ses potes sur le mur du Casino. Ils fument et ils rigolent...
Un moment passe puis la voix de Momo reprend :
- Lili fait du vélo sur le trottoir... Les Taffarelli sont en train de baiser...
Zé et Ginette dressent l'oreille. Zé crie à travers la porte :
- Et comment tu sais ça, toi, salopiaud ?
- Parce que leur fils est sur le balcon aussi.
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